Médaillon appartenant à la superbe mosaïque du calendrier agricole de St-Romain-en-Gal. Celui-ci présente un élément de la saison hiver : L'hiver personnifiée sur un sanglier.

Cette belle mosaïque a été découverte en 1891 à Saint-Romain-en-Gal, sur la rive droite du Rhône. Elle a été acquise par le musée du Louvre, puis fut mise en dépôt au musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye en 1935. Elle provient d'une riche villa sub-urbaine de la ville antique de Vienne, dans l'Isère. Le pavement, incomplet, mais long de 5,66 mètres, compte vingt tableaux (trente deux à l'origine) illustrant les travaux et les fêtes des campagnes. Les scènes sont organisées autour de panneaux représentant des personnifications des saisons, juchées sur différents animaux. On y trouve aussi un certain nombre de médaillons animés comme le labour, la cueillette des fruits, le foulage du raisin, le poissage des jarres, un sacrifice à Taranis... La mosaïque est l'un des plus beaux exemples du dynamisme et de l'inventivité des ateliers de mosaïstes implantés à Vienne à partir du IIe siècle après Jésus-Christ. Datée du début du IIIe siècle, c'est l'une de leurs dernières productions. 

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Médaillon appartenant à la superbe mosaïque du calendrier agricole de St-Romain-en-Gal. Celui-ci présente un élément de la saison automne : Les labours et les semis.

Cette belle mosaïque a été découverte en 1891 à Saint-Romain-en-Gal, sur la rive droite du Rhône. Elle a été aussitôt acquise par le musée du Louvre, puis fut mise en dépôt au musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye en 1935. Elle provient d'une riche villa sub-urbaine de la ville antique de Vienne, dans l'Isère. Le pavement, incomplet, mais long de 5,66 mètres, compte vingt tableaux (trente deux à l'origine) illustrant les travaux et les fêtes des campagnes. Les scènes sont organisées autour de panneaux représentant des personnifications des saisons, juchées sur différents animaux. On y trouve aussi un certain nombre de médaillons animés comme le labour, la cueillette des fruits, le foulage du raisin, le poissage des jarres, un sacrifice à Taranis... La mosaïque est l'un des plus beaux exemples du dynamisme et de l'inventivité des ateliers de mosaïstes implantés à Vienne à partir du IIe siècle après Jésus-Christ. Datée du début du IIIe siècle, c'est l'une de leurs dernières productions. 

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Médaillon appartenant à la superbe mosaïque du calendrier agricole de St-Romain-en-Gal. Celui-ci présente un élément de la saison automne : La cueillette des olives.

Cette belle mosaïque a été découverte en 1891 à Saint-Romain-en-Gal, sur la rive droite du Rhône. Elle a été aussitôt acquise par le musée du Louvre, puis fut mise en dépôt au musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye en 1935. Elle provient d'une riche villa sub-urbaine de la ville antique de Vienne, dans l'Isère. Le pavement, incomplet, mais long de 5,66 mètres, compte vingt tableaux (trente deux à l'origine) illustrant les travaux et les fêtes des campagnes. Les scènes sont organisées autour de panneaux représentant des personnifications des saisons, juchées sur différents animaux. On y trouve aussi un certain nombre de médaillons animés comme le labour, la cueillette des fruits, le foulage du raisin, le poissage des jarres, un sacrifice à Taranis... La mosaïque est l'un des plus beaux exemples du dynamisme et de l'inventivité des ateliers de mosaïstes implantés à Vienne à partir du IIe siècle après Jésus-Christ. Datée du début du IIIe siècle, c'est l'une de leurs dernières productions. 

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Médaillon appartenant à la superbe mosaïque du calendrier agricole de St-Romain-en-Gal. Celui-ci présente un élément de la saison automne : Le pressurage des olives.

Cette belle mosaïque a été découverte en 1891 à Saint-Romain-en-Gal, sur la rive droite du Rhône. Elle a été aussitôt acquise par le musée du Louvre, puis fut mise en dépôt au musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye en 1935. Elle provient d'une riche villa sub-urbaine de la ville antique de Vienne, dans l'Isère. Le pavement, incomplet, mais long de 5,66 mètres, compte vingt tableaux (trente deux à l'origine) illustrant les travaux et les fêtes des campagnes. Les scènes sont organisées autour de panneaux représentant des personnifications des saisons, juchées sur différents animaux. On y trouve aussi un certain nombre de médaillons animés comme le labour, la cueillette des fruits, le foulage du raisin, le poissage des jarres, un sacrifice à Taranis... La mosaïque est l'un des plus beaux exemples du dynamisme et de l'inventivité des ateliers de mosaïstes implantés à Vienne à partir du IIe siècle après Jésus-Christ. Datée du début du IIIe siècle, c'est l'une de leurs dernières productions. 

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Médaillon appartenant à la superbe mosaïque du calendrier agricole de St-Romain-en-Gal. Celui-ci présente un élément de la saison été : Un sacrifice au Dieu Taranis (assimilé à Jupiter).

La scène présente deux personnages, une femme et un homme, debouts sur une colonne posée devant un arbre. La colonne est un symbole cosmique, elle est destinée à rapprocher la divinité du ciel et montre la prééminence du dieu sur le bas-monde. Taranis brandit de la main droite une torche enflammée et tient de la main gauche une roue. Ces deux éléments symbolisent le tonnerre (Taranis est le nom gaulois du tonnerre). 
La femme lève le bras droit en direction de Taranis  et tient de la main gauche une bandelette.
L'homme accomplit un sacrifice sur l'autel, il s'agit d'une offrande de farine ("mola salmsa") ou d'une libation (quelques gouttes de vin). L'homme semble tenir aussi dans la main gauche une bandelette de tissu.

Cette belle mosaïque a été découverte en 1891 à Saint-Romain-en-Gal, sur la rive droite du Rhône. Elle a été aussitôt acquise par le musée du Louvre, puis fut mise en dépôt au musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye en 1935. Elle provient d'une riche villa sub-urbaine de la ville antique de Vienne, dans l'Isère. Le pavement, incomplet, mais long de 5,66 mètres, compte vingt tableaux (trente deux à l'origine) illustrant les travaux et les fêtes des campagnes. Les scènes sont organisées autour de panneaux représentant des personnifications des saisons, juchées sur différents animaux. On y trouve aussi un certain nombre de médaillons animés comme le labour, la cueillette des fruits, le foulage du raisin, le poissage des jarres, un sacrifice à Taranis... La mosaïque est l'un des plus beaux exemples du dynamisme et de l'inventivité des ateliers de mosaïstes implantés à Vienne à partir du IIe siècle après Jésus-Christ. Datée du début du IIIe siècle, c'est l'une de leurs dernières productions. 

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Cette mosaïque fait partie d'un ensemble de tableaux présentant un calendrier agricole avec les quatre saisons. Elle ornait le sol d’une grande demeure sub-urbaine de Saint-Romain-en-Gal, au IIIe s de notre ère, l’un des quartiers riches de Vienne. Elle est conservée aujourd'hui au Musée de Saint-Germain-en-Lay.

La mosaïque du calendrier agricole de Saint-Romain-en-Gal s’organise autour de panneaux figurant les 4 saisons. Pour sa "lecture", il faut commencer par le centre, avec les 4 tableaux figurant les 4 saisons.
Chaque saison est personnifiée par un ange moqueur et aux bonnes joues, appelé "putto", qui chevauche un animal sauvage différent :

• L’hiver est à dos de sanglier et regarde vers le Nord.
• Le printemps, bien installé sur un taureau, regarde vers le Sud.
• L’été chevauche un lion et est orienté vers le Sud.
• L’automne, sur un tigre, le regard tourné vers le Nord.

Autour de chaque panneau saisonnier se déploient 7 autres tableaux :

• Pour l’hiver
       • Les semailles des fèves
       • La meule à grain
       • Le transport du fumier
       • Le four à pain
       • Le sacrifice aux Lares
       • Le tressage des paniers
       • La fête des morts (Parentalia, du 13 au 21 février)
• Pour le printemps
       • Le retour des cigognes
       • La greffe des arbres
  + 5 tableaux disparus

• Pour l’été
       • La sacrifice à Taranis
       • Le lanceur de javelot
       • Le ramassage du bois
  + 4 tableaux disparus
• Pour l’automne
       • La cueillette des pommes
       • Les vendanges
       • Le foulage du raisin
       • Les labours et les semailles
       • Le poissage des jarres à huile
       • La cueillette des olives
       • Le pressage des olives

Enfin, aux deux extrémités nord et sud de la mosaïque, on trouve 4 autres tableaux. Manquants côté sud, les 4 tableaux de l’extrémité nord représentent des têtes et culots de plantes pour signifier le printemps et l’été.

Livrée avec un cadre en bois.

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Haut. : 55 cm ; Larg. 57 cm ; Poids : 4,3 kgs

Reproduction d'une mosaïque représentant le Dieu Hercule attrapant la biche de Cérynie. La pièce originale a été découverte à la Villa des Mingauds, dans la Drome, près de Valence (St-Paul-les-Romans).

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Hauteur : 49 cm ; Largeur : 43 cm ; Poids : 3 kgs

Reproduction d'une mosaïque décorée d'un rinceau composé de feuilles et d'un oiseau sur des fleurs (moineau). La pièce originale est conservée au Musée d'El Jem (Tunisie).

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Grande mosaïque décorée d'un oiseau (au milieu d'un oeuil ?). La pièce originale présente, en plus des oiseaux, la déesse Africa en panneau central et les quatre saisons sur les angles. Elle est conservée au Musée archéologique d'El Jem, en Tunisie et est datée de la fin du IIe s. ap. J.C.

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,... 

Grande mosaïque décorée d'un oiseau (au milieu d'un oeuil ?). La pièce originale présente, en plus des oiseaux, la déesse Africa en panneau central et les quatre saisons sur les angles. Elle est conservée au Musée archéologique d'El Jem, en Tunisie et est datée de la fin du IIe s. ap. J.C.

Chaque mosaïque est unique et peut être utilisée à plat, insérée dans un sol ou sur un mur ou présentée en tableau (système d'attache présent à l'arrière).

Travail artisanal, entièrement fait main, avec de nombreuses pierres naturelles telles que marbre, granite, travertine, quartz, calcaire,...